Aujourd’hui, plus que par le passé, la génération Z est face aux préjugés.

La nouvelle promotion de l’EGC Réunion vous propose sa vision du marché du travail !

Pour comprendre cette génération Z, il faut se dire qu’elle a un rapport au travail bien différent de celui de la génération de ses parents. Nés après 1995, ces « Digital-natives péï » arrivent sur le marché du travail, ayant grandi sous fond de digitalisation et de différentes crises économiques, sociales et environnementales.

Ces jeunes se disent « Je suis le propre chef de mon navire ». Les nouvelles opportunités qui s’offrent à eux leur permettent de mener plusieurs projets à la fois. Prenons l’exemple d’un étudiant, Vincent en première année à l’EGC Réunion, gérant à la fois l’entreprise familiale et s’investissant dans des projets associatifs.

La nouvelle génération aspire plus à une nouvelle vision du monde du travail, en l’adaptant à ses envies. N’oublions pas que cette génération indépendante ne considère plus le travail  comme un ascenseur social mais plutôt comme un moyen d’atteindre ses objectifs personnels. Le marché du travail est tellement évolutif qu’un grand nombre d’entre eux souhaite avoir une expérience d’indépendant.

Il revient aux entreprises de s’adapter afin d’éviter la fuite de ces talents qui représenteront bientôt une grande partie de leurs salariés. L’EGC Réunion prépare d’ores et déjà l’avenir en formant ces étudiants dès la première année.

 

Quelle vision du marché du travail a cette génération Z ?

Près d’une à deux générations séparent les jeunes étudiants de l’EGC Réunion de leurs parents. Les envies et les besoins sont bien différents, mais ils mènent tout de même des combats identiques. Par exemple, ils se sentent tout autant concernés par les inégalités…

« Nos parents nous ont toujours dit de trouver une stabilité d’emploi mais comment fait-on face à un marché du travail qui est lui-même instable? L’EGC Réunion nous prépare à intégrer ce marché qui va très vite. » Camille

Cette génération Z a la volonté de multiplier les expériences : 1/3 des étudiants envisage de cumuler 3 activités en parallèle.

Loryane, nouvelle étudiante à l’EGC Réunion, a cette culture du risque :

« Moi je pense qu’on a différentes visions du marché du travail, les choses sont devenues éphémères et  le monde va très vite. Avoir cette culture du risque est très important au lieu d’avoir cette culture d’assurance. On découvre de nouvelles choses, par exemple l’arrivée du freelance… Moi, j’ai envie d’ouvrir mon entreprise, prendre des risques. »

50% de ces jeunes pensent que le CDI est en voie de disparaître, laissant place au CDD ou au Freelance. Ils restent tout de même conscients que le CDI reste la norme.         79% d’entre eux le considèrent comme un objectif en soi.

Les Étudiants de l’EGC ne font pas exception à la règle. Le CDI reste pour eux l’objectif final en sortant du cursus.

« Maintenant, de nouvelles opportunités s’offrent à nous : le CDI n’est plus une sécurité d’emploi. Je n’arriverais pas à m’exprimer pleinement, nous sommes cette génération d’opportunistes qui se donne les moyens adaptés à ses ambitions.

Toute génération a besoin de changement. Avant, on devait fidélité à son patron » Romain 

Afin d’éviter toute fuite de talents, les entreprises doivent certainement faire évoluer leurs méthodes. Un grand nombre de ces jeunes, qui représente déjà  20% de leurs salariés, a un rapport complexe face à une organisation traditionnelle du travail. 42% d’entre eux souhaitent participer aux décisions stratégiques.

 

Quels sont les facteurs de bien-être au travail et qu’attend cette génération Z de l’entreprise?

Cette génération a connu de nombreuses crises que ce soit économiques, sociales et même sanitaires. Maintenant, avec la crise COVID-19, elle est beaucoup plus sensible et impactée par ce qui se passe autour d’elle.

Pour nos étudiants de l’EGC Réunion en première année, avoir un soutien en entreprise est important pour eux-mêmes et la pérennité de l’entreprise.

« Se retrouver bien en entreprise est important parce que l’on va la considérer comme notre deuxième famille, partager une grande partie de notre vie avec nos collègues. Pour cela, je dois donner du sens à ce que je fais, avoir un manager investi me rassure. Je préfère les méthodes de travail beaucoup moins traditionnelles, elles me paraissent beaucoup moins bancales… »  Valentin

Il faut savoir que 60% des métiers de 2030 ne sont pas encore créés, selon ERNST and Young. On voit par exemple une recrudescence des formations : de nouveaux managers qu’on appelle des coachs de vie. Dans les grandes entreprises, cette nouvelle approche du travail est mise en avant.

« Faciliter l’entente au travail pour moi est très important : on est plus sensible émotionnellement. Il me semble nécessaire d’avoir en entreprise un coach de vie afin de savoir gérer nos émotions, les problèmes au sein de l’entreprise, avoir un bien-être général…»  Anna

« Ce que j’apprécie, c’est cette flexibilité au travail, pouvoir gérer mon temps comme bon me semble. À la Réunion il n’est pas possible de le voir, mais en métropole par exemple on habite à 100 Km de son travail. Être capable de gérer son temps, pour être plus productif afin de rendre le travail agréable, est un point essentiel pour moi…»  Victoria

Être responsable et pouvoir prendre des décisions sont pour eux des points essentiels du développement personnel et du bien-être au travail. Ils sont beaucoup plus demandeurs d’indépendance, avec l’arrivée du télétravail par exemple, mais aussi de responsabilités dans la prise de décision.

En intégrant l’EGC Réunion, ces étudiants sont prêts à s’investir dans le monde professionnel et attendent des entreprises qu’elles les responsabilisent.

« À travers ces nouvelles méthodes de travail et ces nouvelles technologies, on nous demande d’être plus investis mais cela nous demande d’être beaucoup plus organisés. On nous parle beaucoup de productivité et d’efficacité, mais moi j’attends de mon entreprise qu’elle s’investisse aussi pour moi, j’ai ce besoin de reconnaissance… » Trecy

Quand on compare les études déjà faites en métropole, et ce que nous disent les étudiants de l’EGC Réunion, un grand nombre d’entre eux a cette soif d’indépendance et d’adaptabilité. Les étudiants de cette génération Z ont un avis tranché sur ce que l’avenir leur réserve.

Et une chose est sûre, ils sont prêts à s’investir un maximum pour réussir.

Le marché du travail est tellement « rapide » selon eux, qu’ils doivent s’adapter.

L’entreprise idéale doit leur ressembler, pour leur permettre de s’exprimer pleinement.

En quête de nouvelles expériences et de sens, ces digital-natives cherchent une forme différente de reconnaissance dans leur entreprise. Ils sont beaucoup plus en recherche d’adaptabilité et de bien-être.

Les étudiants de l’EGC Réunion se forment déjà dans un cadre professionnel, ce qui leur permettra de s’épanouir pleinement sur le marché de l’emploi. De nombreux projets sont organisés chaque année, afin de leur permettre de prendre des responsabilités.

L’EGC Réunion s’investit tout autant que les étudiants dans le seul objectif de les préparer à entrer sur le marché du travail et à trouver leur place au sein des entreprises locales.

« L’EGC Réunion nous donne déjà l’opportunité de nous responsabiliser, de nous adapter au monde du travail, avec les différents projets qu’on doit présenter au cours de l’année comme le concept du projet POTE (Projet Opérationnel de Travail en Équipe). Comparé à une formation traditionnelle, le cadre est plus adéquat pour s’exprimer… » Vincent

Face aux préjugés, les étudiants de l’EGC se positionnent, de par leurs valeurs et leurs envies, pour s’investir pleinement dans un monde professionnel en pleine mutation.

Sources :

  • Mazars et Opinion Way
  • ERNST and Young
  • La Promotion EGC 1ère année